Il y a Giselle, et puis Giselle… Trois points de suspension qui font toute la différence entre l’incontournable ballet romantique et ce récit dansé par Samantha van Wissen et un quatuor de musiciennes. Une ponctuation comme un temps de latence, celui de reprendre le souffle que les plus grands interprètes insufflent à leurs personnages féminins.
Il s’agit du deuxième volet de la trilogie que François Gremaud entend consacrer à trois grandes figures féminines tragiques des arts vivants classiques : Phèdre, Giselle et Carmen.
Spectacle de danse programmé dans le cadre du Festival Conversations du CNDC.