La loi de 2000 institue une journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’État français et d’hommage aux "Justes" de France qui ont recueilli, protégé ou défendu une ou plusieurs personnes menacées de génocide.
Cette journée est fixée au dimanche qui suit le 16 juillet, date anniversaire de la rafle du Vélodrome d’hiver à Paris.