Et si le creux du piano devenait, pour un temps, le pilier d’un pont sous lequel s’écoulait la Seine? Et si l’accordéon retenait, caché dans sa musette, le dernier souffle d’un homme de la rue ? Et si l’ambre d’un projecteur s’y appelait la lune sous laquelle se jouait et se chantait : «Cette détresse qu’on appelait de la tendresse en d’autres temps… » ? Déambulation poético-musicale sur des Textes de Bernard DIMEY dits, joués et chantés par Jean Michel PITON.