Auteure, compositeure, interprète aux textes bruts empreints de la grande chanson française, Kalika fait figure de Catherine Ringer des temps modernes avec ses sonorités pop et sa production léchée. Sur scène, Mia de son prénom laisse toute la place à Kalika lorsqu’elle sort de sa coquille. Un alter ego qu’elle a choisi pour rendre aussi bien hommage à Sara La Kali, la sainte des gitans, une communauté avec laquelle elle a grandi, qu’à la déesse hindou Kali, la divinité de la déconstruction et de la reconstruction.