Les morceaux sont chaloupés, enjoués et dansants. Les textes sont criants de vérité, un tantinet malicieux. La Mine de Léo donne un univers joyeux et révolté. Léo parle de la vie en général et surtout de la sienne. Elle nous livre avec sa voix grave et atypique, une vision intime et pourtant si universelle du monde. Une vision moderne qui donne envie d’aller plus loin. Nicolas Campin pioche dans les musiques de l’est à l’accordéon, Paul Delhumeau fait sonner sa mandoline à la manière de Mike Marshall et Vincent Le chevallier rythme et jongle avec les percussions et la batterie world.