Témoigner de manière large* et non exhaustive de ce qu’est la difficulté maternelle, de la faire connaître et reconnaître dans toute sa dimension humaine, maternelle, émotionnelle et psychique, c'est-à-dire au-delà du cadre médical et de la nosographie psychiatrique. Témoigner des éventuelles conséquences de la difficulté maternelle, transitoires ou durables, aussi bien pour la mère que pour son enfant, son compagnon, sa famille et ses proches... Soutenir, informer, conseiller, orienter éventuellement vers des professionnels de la santé, toutes personnes concernées par cette question de la difficulté maternelle : mère mais aussi père, enfants, famille et entourage. Soutenir et/ou faire connaître les professionnel·le·s ou futurs professionnel·le·s de la santé, de la petite enfance et du secteur social qui œuvrent ou œuvreront dans ce cadre de santé publique, qui apportent ou apporteront réflexion.