Mme Dufun et Mme Dufil – alias Marion et Romane, les deux animatrices du stage - ont ouvert leur atelier de couture du 20 au 24 octobre à l’accueil de loisirs de la Blancheraie à plus d’une vingtaine de jeunes couturiers en apprentissage. Novice en la matière ou expert des activités manuelles, nos apprentis s’en sont donnés à cœur joie pour apprendre les rudiments de la couture, de la broderie ou du tressage au fur et à mesure de la semaine. « Nous avons débuté la semaine en apprenant les techniques de base et ainsi permettre à chacun de réaliser ses œuvres en autonomie par la suite », précisent nos deux animatrices référentes. A la main ou à la machine, en couture ou en broderie, chacun a ainsi pu faire parler son côté créatif pour réaliser ou customiser chouchous, pochettes, tote-bag ou autres lingettes… « Avec toujours beaucoup d’entraide et de solidarité dans le groupe où les plus à l’aise se montraient toujours disponibles pour filer un coup de main aux copains quand cela était nécessaire ». Côté tressage et perles, la réalisation d’animaux, de bracelets brésiliens ou de scoubidous était également au programme avec la encore, de l’imagination à revendre dans le choix des couleurs et des formes. Une créativité encouragée par la sortie très appréciée du mercredi au musée Jean Lurçat où les enfants ont pu découvrir la célèbre tapisserie du « Chant du Monde » mais également se régaler devant les œuvres du concours international de mini-textiles. Mais ce jeudi 23 octobre, ce sont bien leurs créations à eux qui faisaient l’objet de toutes les attentions lors d’un goûter convivial ouvert aux parents en fin de journée. Avec de très beaux effets « whaouh » à l’heure des présentations et une fierté partagée qui pouvait se lire sur les visages des petits comme des grands. De belles complicités familiales qui se poursuivaient même par la possibilité pour les adultes de s’essayer à la machine ou au tressage aux côtés de leurs enfants. De très chouettes échanges de savoir-faire qui pourraient bien se prolonger dans les prochaines semaines à la maison. De quoi reprendre le fil de l’histoire.