Son « œuvre cinématographique [est] d’une simplicité trompeuse qui cache un travail sonore méticuleux » (Léopold Tobisch, Radio France, 2020). Comment Jacques Tati agence, compose, organise son univers sonore et musical ? De quelle façon dévoile-t-il les fonctions narratives de la musique allant jusqu’à traduire la plongée dans le rêve, l’émotion, l’enfance, l’imaginaire dans Jour de fête et Mon Oncle ?
Par Marie-Anne Lieb, docteure en études cinématographiques