Un nouvel espace créé sur Angers en 2016, lors l'aménagement du cours Saint-Laud dans le quartier de la gare

Programme immobilier directement connecté à la gare, à proximité du centre-ville, Cours Saint-Laud est LE quartier d’affaires à dimension régionale d’Angers. Cours Saint-Laud rassemble au sein d’une unique opération portée par l’aménageur public Alter l’ensemble des programmes livrés, en cours ou à venir autour de la gare TGV Saint-Laud.

La reconversion des friches urbaines autour de la gare Saint-Laud offre donc un nouveau pôle de vie avec commerces et services reliant des quartiers au centre-ville.

Ainsi 70 000 m² de bureaux, 350 logements, 2000 m² de commerces sont accessibles, sans oublier le végétal avec un parc de 8000 m² : le jardin Eblé livré en 2016.

Un geste architectural fort


Un geste architectural fort a été choisi pour remplacer les anciens entrepôts Sernam, rue Auguste-Gautier. Dessinée par l’architecte Jacques Ferrier et portée par le groupe Giboire, cette opération à donner naissance à trois immeubles de bureaux et à un hôtel aux formes contemporaines. Le tout venant se poser sur un tapis de verdure vallonné dissimulant les parkings des employés et usagers.

Un lifting pour le Pont-Noir


De l’autre côté des voies ferrées, le secteur de la rue Bosseau à la place Langevin, a également été entièrement redessiné. En bordure des voies, des immeubles tertiaires ont vu le jour de part et d’autre du Pont-Noir. Les nouveaux logements, eux, donnent sur un parc paysager aménagé à proximité du boulevard Yvonne-Poirel.

Quant au Pont-Noir, site peu attrayant, il a connu un lifting afin de rendre sa traversée plus gaie, tout en sécurisant les déplacements des piétons et cyclistes. Dans ce même esprit, la passerelle piétonne qui surplombe les rails entre les places Sémard et Langevin a été rénovée, ainsi que ses accès.

70 000 m2  de bureaux


Le cœur de ce programme est la création d’un quartier d’affaires de 70 000 m2 de bureaux prévus à l’horizon 2025. A cette date, on estime que le nombre d’emplois tertiaires sur le secteur devrait être de 3 000 avant 2025.

Déjà 60 650 m2 de ces programmes sont aujourd’hui livrés ou en cours, soit 86 % du quartier d’affaires :

  • Côté Nord des voies ferrées, les immeubles de bureaux Quatuor (1, 2, 3) et l’hôtel/résidence étudiante,
  • Côté Sud, Linéo, Intencity, les sièges de la Soclova et de Podeliha, Odalys, Koncept (Giboire), Les Ateliers (Duval) et Station A.

Concernant les entreprises présentes ou qui ont déjà actée leur arrivée sur Cours Saint-Laud, on peut citer : La Caisse des Dépôts, Babilou, Biocoop, Sogea Atlantique BTP, Qowisio, Lybernet Assurances, Energie Mutuelle, Novotel…

En outre, un parc de 8 000 m2 a été aménagé ainsi qu’une nouvelle passerelle reliant, au-dessus des voies ferrées, les place Pierre-Sémard et Giffard-Langevin. Enfin, Cours Saint-Laud, c’est aussi 380 logements et 1 500 m² de commerces.

Pour en savoir plus

https://www.angers.fr/l-action-municipale/ville-en-mouvement/cours-saint-laud/index.html, Ouvre une nouvelle fenêtre

Des arbres en libre cueillette au jardin Eblé

La Ville d’Angers a engagé depuis plusieurs années un vaste plan dédié à l’agriculture urbaine.  Son objectif est d’accompagner toutes les initiatives citoyennes autour de l’agriculture urbaine.

En 2020, la ville procède à la plantation de vergers dans chaque quartier d’Angers. Plus de 100 arbres fruitiers, espèces majoritairement anciennes et locales, tels que pommiers, poiriers, pruniers, amandiers, noisetiers, cerisiers et abricotiers seront disponibles en libre cueillette. Le jardin Eblé à accueillis 10 arbres.

Développer les vergers conservatoires


Des plantations d’arbres fruitiers sont mises en oeuvre sur l’ensemble de la ville. Les arbres sont issus de variétés fruitières anciennes, don du patrimoine d’un particulier, complété d’achats d’autres variétés anciennes de pépinières locales. Un programme de plantations sera mis en oeuvre chaque année lors de projets spécifiques ou dans des projets d’aménagements paysagers plus globaux.

Deux typologies de vergers :
• Des vergers dits purement « conservatoires » et non directement accessibles au public, qui sont mis en oeuvre afin de permettre au territoire de contribuer à conserver des variétés anciennes locales.

• Des vergers partagés ou des fruitiers isolés en libre cueillette répartis sur l’ensemble des espaces publics de la ville.

Cette action répond à des objectifs paysagers et patrimoniaux, mais aussi de biodiversité et de cadre de vie des Angevins.