Désignation
Dénomination : maison Appellation et titre : maison Jubin Partie(s) constituante(s) non étudiée(s) : cour ; boutique
Compléments de localisation
Référence(s) cadastrale(s) : 1840 H2 408 ; 1980 BS 135 ; 1999 BS 135 Numéro INSEE de la commune : 49007 Aire : Angers intra-muros Canton : Angers Centre Milieu d'implantation : en ville
Historique
Commentaire historique : Maison construite vers 1763, comme l'atteste la date portée sur la lucarne. L'escalier et les cheminées sont d'origine. En 1782, ce logis est propriété de l'apothicaire Jean-François Jubin, puis de sa veuve Marguerite Daitrineau jusqu'en 1789 (d'après source). La façade a été ravalée sèchement vers 1980. Datation(s) principale(s) : 3e quart 18e siècle Date(s) : 1763 Justification de la datation : porte la date
Description
Commentaire descriptif : Maison à deux corps de logis matérialisés en couverture par des toits distincts, appentis brisé sur la place du Pilori, appentis orienté latéralement sur une petite cour pour la partie arrière. Les élévations visibles sont en tuffeau, les murs mitoyens en schiste. La façade sur la place, à deux étages carrés et comble à surcroît, présente deux travées avec double bandeau mouluré entre les niveaux, supprimé lors du dernier ravalement. L'escalier, en fond de couloir et s'éclairant sur la cour arrière, est constitué d'un petit mur-noyau. Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : tuffeau ; moyen appareil ; schiste ; moellon sans chaîne en pierre de taille ; enduit Matériau(x) de couverture : ardoise Vaisseau(x) et étage(s) : sous-sol ; 2 étages carrés ; comble à surcroît Parti d'élévation extérieure : élévation à travées Type de la couverture : appentis brisé ; appentis Emplacement, forme et structure de l'escalier : escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour, en maçonnerie Typologie : Maison marchande des XVIIe-XIXe siècles, à module étroit (type A2). Etat de conservation : restauré
Intérêt de l'oeuvre
Elément(s) remarquable(s) : élévation ; cheminée Observations : Bel exemple de maison commerçante à deux travées, homogène, bien conservée intérieurement (escalier, cheminées Louis XV) et de plus bien datée. La façade présentait des similitudes stylistiques avec l'imposante maison de l'apothicaire Raimbault, sur la même place au n° 6, qui a pu servir de référence avec son double bandeau. Mais le commanditaire de cette maison n'est pas connu.
Situation juridique
Statut de la propriété : propriété privée
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