Il me semble que c’est la seule ou grande question qu’on se pose à propos de notre vie… Vivre, on le fait, mais exister, c’est la vie bonne (non parfaite) que l’on a choisie. C’est possible mais à quelle(s) condition(s) ? Et comment sommes-nous d’abord construits ? A partir d’une pratique du récit de vie, et de la considération de plus de mille histoires de vie (chiffre indicatif !), nous avons constitué une anthropologie pragmatique de l’existence en France, basée sur les sciences humaines (sociologie surtout et psychologie, psychanalyse, sciences de la vie et de la terre) et non la philosophie (même si l’interrogation en tant que telle sur notre existence et sa valeur en fait partie), que nous expliciterons pour éclairer la question en essayant d’être au plus près des besoins des participants dont on attend qu’ils s’expriment sur la question. Nous parlerons donc de sphères d’existence, de vies commune, parallèle, alternative, de domination, d’autonomie, d’empowerment etc. Et prendrons surtout des histoires concrètes, des exemples de vies tirées de récits… (Les plus de 1000 histoires)
