Inventaire général du patrimoine culturel
Région des Pays de la Loire/Service du Patrimoine
Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire
inventaire topographique

Pays de la Loire, Maine-et-Loire

Angers, Centre-ville (quartier), Préfecture (mail de la)

Abbaye de bénédictins puis de mauristes, dite abbaye Saint-Aubin, actuellement hôtel du Département et préfecture de Maine-et-Loire

Type de dossier : individuel Oeuvre sélectionnée Date de l'enquête : 1994

Références documentaires

Référence de la même oeuvre dans le domaine MH : PA00108861

Désignation

Dénomination : abbaye ; préfecture ; archives
Genre du destinataire : de bénédictins ; de mauristes
Vocable : Saint-Aubin
Destinations successives et actuelles de l'édifice : préfecture ; hôtel de département
Partie(s) constituante(s) non étudiée(s) : cour ; jardin ; église ; chapelle ; oratoire ; cloître ; bâtiment conventuel ; salle capitulaire ; logis abbatial ; hôtellerie ; infirmerie ; orangerie ; puits

Compléments de localisation

Référence(s) cadastrale(s) : 1840 J 644, 679, 680, 708 ; 1980 DH 169, 198
Numéro INSEE de la commune : 49007
Aire : Angers intra-muros
Canton : Angers Centre
Milieu d'implantation : en ville

Historique

Commentaire historique : Fondé au 6e siècle sous le vocable de saint Aubin, l'édifice relève des bénédictins à partir de 966. Les plus anciens vestiges en élévation de l'abbatiale, une partie du bas-côté nord, indiquent le milieu du 11e siècle. L'abbaye est reconstruite au 12e siècle : en témoignent encore la tour des cloches (ou Tour Saint-Aubin), la cave de l'aile ouest et d'importants restes du cloître. Celui-ci ne serait voûté qu'au milieu du 13e siècle. Dans les années 1530, l´architecte Jean Delespine réaménage ou reconstruit le logis abbatial et y édifie une galerie dont subsiste une arcade, 8 rue des Lices. Le second logis abbatial date de la 1ère moitié du 18e siècle. La reconstruction des bâtiments conventuels par les mauristes commence en 1688 et s'achève vers 1737 avec le réfectoire, de Pierre Baudriller. En 1797, l'administration départementale occupe les lieux, modifiés tout au long du 19e siècle : entre 1809 et 1837 sont aménagés la cour d'entrée et les façades attenantes, ainsi que le mail d'accès (à l'emplacement de l'abbatiale), sous la direction successive de l'ingénieur Jean-François Demarie, puis des architectes Louis François et Mathurin Binet. Clôture et pavillons du jardin au sud de l'enclos sont dus à ce dernier architecte. A partir de 1852, Ferdinand Lachèse remanie à nouveau la façade antérieure de l'aile sud et tous les intérieurs, puis Ernest Dainville effectue les agrandissements sur le mail dans les années 1880. Logées depuis 1797 dans l'aile est, les archives sont installées (jusqu'en 1987) dans un bâtiment édifié en quatre étapes, entre 1934 et 1967, par Ernest Bricard, puis par Henri Enguehard. Ce dernier et son associé Guy Lamaison surélèvent vers 1975 l'aile ouest de l'abbaye, augmentée d'un bâtiment d'accueil pour la préfecture.
Datation(s) principale(s) : 4e quart 17e siècle ; 1ère moitié 18e siècle ; 19e siècle ; 20e siècle
Datation(s) secondaire(s) : milieu 11e siècle ; 12e siècle ; milieu 13e siècle ; 1ère moitié 16e siècle
Date(s) : 1688
Justification de la datation : daté par source ; daté par travaux historiques
Auteur(s) : Delespine Jean (architecte) ; Baudriller Pierre (architecte) ; Demarie Jean-François (ingénieur civil) ; François Louis (architecte départemental) ; Binet Mathurin (architecte) ; Lachèse Ferdinand (architecte départemental) ; Dainville Ernest (architecte départemental) ; Bricard Ernest (architecte) ; Enguehard Henri (architecte départemental) ; Lamaison Guy (architecte départemental)
Justification de l'attribution : attribution par source

Description

Matériau(x) de gros-oeuvre et mise en oeuvre : grès ; micaschiste ; petit appareil ; tuffeau ; moyen appareil ; schiste ; moellon ; enduit ; appareil mixte ; ciment
Matériau(x) de couverture : ardoise ; tôle ondulée ; ciment en couverture
Parti de plan : plan en croix latine
Vaisseau(x) et étage(s) : 3 vaisseaux ; sous-sol ; 5 étages carrés ; étage en surcroît
Type et nature du couvrement : voûte en berceau plein-cintre ; voûte en berceau brisé ; voûte d'arêtes ; à lunettes ; voûte d'ogives ; coupole ; voûte plate ; voûte en arc-de-cloître ; fausse voûte en arc-de-cloître
Parti d'élévation extérieure : élévation à travées ; élévation ordonnancée
Type de la couverture : toit à longs pans ; toit à longs pans brisés ; appentis ; terrasse ; pignon ; croupe ; noue ; croupe ronde ; toit en pavillon ; toit polygonal ; toit conique ; flèche en maçonnerie ; lanterneau ; toit conique ; flèche en maçonnerie ; lanterneau
Emplacement, forme et structure de l'escalier : escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour, en maçonnerie, suspendu, sur voûte ; escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour, en maçonnerie
Technique du décor : sculpture ; sculpture (étudiée dans la base Palissy) ; peinture (étudiée dans la base Palissy) ; ferronnerie
Représentation : ornement architectural ; ornement géométrique
Précision sur la représentation : Sujet : pilastres, motifs à losanges et cercles, support : élévation de la galerie du premier logis abbatial. Sujet : volute, ornement géométrique, support : escalier d'honneur.

Intérêt de l'oeuvre

Intérêt de l'oeuvre : à signaler
Elément(s) remarquable(s) : cloître ; clocher ; sacristie ; réfectoire ; cuisine ; escalier ; voûte ; cheminée
Observations : La plus ancienne des abbayes angevines, amputée de son église et de son cloître à la Révolution. Remarquables restes de sculptures romanes (salle capitulaire, réfectoire). Bâtiments conventuels du 18e siècle avec de beaux éléments intérieurs (lavabo, réfectoire). Importants aménagements sous le Second Empire pour les besoins de la Préfecture (salle des fêtes, salons).

Situation juridique

Statut de la propriété : propriété de l'Etat ; propriété du département
Date(s) et nature de la protection MH : 1862 : classé MH ; 1901/07/19 : classé MH ; 1904/03/03 : classé MH ; 1968/01/23 : classé MH ; 2007/11/12 : inscrit MH
Précisions sur la protection : Tour Saint-Aubin : classement par liste de 1862 ; arcades du cloître qui subsistent dans la cour de la préfecture d'Angers et dans une salle de rez-de-chaussée du bâtiment central de la préfecture : classement par arrêté du 19 juillet 1901 ; sacristie : classement par arrêté du 3 mars 1904 ; escalier d'honneur ; salles dites du lavabo et de musique ; ancien réfectoire ; portes romanes situées sous le portique ouest et à l'entrée de l'ancien cellier (cad. J 680) : classement par arrêté du 23 janvier 1968 ; ancienne abbaye (hormis les éléments déjà protégés), à savoir en particulier : assiette archéologique (ancienne abbatiale, cloître, jardins) et élévations médiévales (cellier des moines, par exemple) ; reconstructions mauristes des 17e et 18e siècles ; architectures et décors issus de la réappropriation de l'abbaye en hôtel de préfecture (avec tout particulièrement les salles de réception du Second Empire) (cad. 1980 ; non cadastré) : inscription par arrêté du 28 décembre 1998.

Vue de situation.


Synthèse

I. COMPLEMENTS HISTORIQUES

L'abbaye

Fondée vers 530 d'abord sous le vocable de Saint-Germain, une première église dont il ne reste rien, accueille la dépouille de l'évêque Aubin auquel elle est ensuite dédiée, vers 555-556. La présence d'une communauté monastique est certaine dès la 1ère moitié du VIIe siècle. Occupés par les moines bénédictins à partir de 966, les bâtiments sont détruits par un incendie en 1032. L'abbatiale est reconstruite dans le milieu du XIe siècle et achevée pour le gros-oeuvre en 1070 : il en reste une partie du mur septentrional du bas-côté nord (avec quatre baies, dont une complète à l'est) remployée dans l'abbatiale du XIIe siècle dont subsistent aussi huit colonnes (restaurées à l'exception des deux dernières colonnes orientales, à la jonction du transept : ces vestiges sont conservés sur les façades du mail de la Préfecture (parcelles 181 et 185). L'entière réédification du monastère s'échelonne tout au long du XIIe siècle : avec ses chapiteaux corinthiens, la nef, dont subsistent quatre colonnes du collatéral nord (touchant à l'est le bras du transept) sur les façades déjà citées du mail, serait plus ancienne que le chevet construit entre 1128 et 1151. La tour-clocher ou tour des cloches isolée (dite la tour Saint-Aubin), commencée en 1130, est achevée vers 1170-1180, sans que ne soit jamais réalisée la grande flèche de maçonnerie au sommet du beffroi. Du milieu du XIIe siècle comme le cloître, le réfectoire est couvert de voûtes d'ogives plus tardivement, dans ce même siècle. La cuisine circulaire, similaire à celle de Fontevraud, lui est probablement contemporaine. Primitivement charpenté, le cloître n'est pas voûté avant le milieu ou la seconde moitié du XIIIe siècle. La façade occidentale de l'église ainsi que celle du porche attenant pourraient être reprises au XIVe siècle, à la suite d'un accident survenu au "pinaculum" en 1350. En 1426, à la demande de Yolande d'Aragon, un lanternon désigné comme une "échauguette de charpenterie", destiné à la surveillance, est installé au sommet de la "tour de la sonnerie" (tour Saint-Aubin). Il est probablement refait en 1541, date d'un marché de charpente pour la réparation "du beffroy". L'ensemble des couvertures du monastère (église, cloître, aile des dortoirs, logis abbatial) est remis à neuf en 1539. Plusieurs fois abattu par le vent, le clocher de l'église semble dater des XVIe ou XVIIe siècles d'après la vue cavalière du Monasticum. Ce document établi vers 1679 est le seul à représenter en élévation une partie des bâtiments (aile ouest des communs et aile sud du réfectoire) avant reconstruction. La localisation primitive de la sacristie, du chauffoir et de l'escalier du dortoir n'a pu être déterminée dans les restitutions de l'abbaye médiévale (plan et maquettes), établies en 1985-1988 sous la direction de l'historien et archéologue Jacques Mallet.

Après l'introduction officielle de la réforme de Saint-Maur en 1660, l'abbaye fait l'objet de douze projets de reconstruction (y compris les variantes) conçus par des religieux de la congrégation. Les rares plans d'ensemble tentent d'associer à la vie du monastère l'infirmerie et l'hôtellerie, au sud-ouest du quadrilatère (à la place des cuisines). Ce regroupement des fonctions participe du même souci d'unité architecturale qui s'exprime dans la recherche d'un plan régulier et d'élévations ordonnancées sur les jardins.

- Le premier plan de 1674, du prieur dom Thomas Journeaux, est limité à l'aile orientale des dortoirs, conservée dans son étendue initiale mais avec deux étages carrés destinés à accueillir quarante cellules. On peut lui associer l'élévation du Monasticum qui en montre vers 1679 un parti très monumental, tenant compte de modifications établies en 1675 (pavillons moins profonds) mais introduisant pour l'esthétique un troisième étage réuni aux précédents par un ordre colossal.

- En 1680 est élaboré le premier projet d'ensemble, attribué au prieur dom Marc Rivard, qui réduit l'aile des dortoirs à la taille du quadrilatère, sans la régulariser, et conserve la volumétrie des vieux bâtiments avec insertion de l'hostellerie et de l'infirmerie à l'angle sud-ouest. Il sera suivi de multiples variantes concernant majoritairement l'aile orientale, à l'exception du projet "A" de Meaux et de sa variante "au carré" (aile orientale seulement), tous deux en 1685.

- Le projet A, le plus original et le plus ambitieux (83 cellules au total), propose de rectifier l'obliquité de l'aile orientale relativement au bras sud du transept et développe deux ailes symétriques en oblique sur la façade sud, celle de l'est augmentant le dortoir, celle de l'ouest destinée à l'infirmerie. Parmi les variantes du projet A, la salle du chapitre forme un avant-corps sur la façade orientale, à la manière d'une chapelle polygonale (variation B).

- Le projet "au quarré", issu lui aussi du projet A mais plus austère (sans les ailes obliques), affirme encore davantage la régularisation des bâtiments conventuels : l'aile nord du cloître est de même déplacée vers le sud , mais l'aile orientale est cette fois dédoublée par deux cours intérieures dites préaux de part et d'autre de la salle capitulaire ; enfin l'aile ouest du cloître est rebâtie.

Outre l'abbatiale, la reconstruction des mauristes n'épargne des parties médiévales que la partie nord de l'aile ouest occupée par les caves et celliers, et le cloître gothique (avec obturation cependant des arcades romanes ouvrant sur la sacristie et la salle du chapitre). Sont également remployés en gros-oeuvre le mur ouest de l'aile orientale et le mur nord de l'aile méridionale, qui excluent toute régularisation du plan. Le chantier débute par l'aile orientale réduite à la taille du quadrilatère selon le plan de 1680 : la première pierre, posée en 1688, reste sans lendemain et la réalisation de cette aile des dortoirs n'est effective qu'en 1710, sous l'impulsion possible du révérend père et architecte connu de la congrégation, Denis Plouvier. La seconde campagne touchant l'aile sud (escalier d'honneur, lavabo, réfectoire) et la partie attenante de l'aile ouest (escalier de service, office, cuisine, salle des hôtes) est achevée probablement pour les extérieurs vers 1737.

Le logis abbatial est d'abord situé au nord de la tour des cloches. La vue du Monasticum qui en donne une bonne représentation vers 1680 ainsi que les vestiges permettent de le dater de la 1ère moitié du XVIe siècle. Un livre de comptes fragmentaire de cette époque relatif à des travaux essentiellement pour la maison de l'abbé, donne le nom de Jean Delespine pour la construction d'une galerie à deux niveaux, desservant une "estude" (peut-être la "chapelle" mentionnée ultérieurement sur différents plans et textes). Cet architecte est probablement l'auteur des travaux importants effectués tant pour le logis (vis neuve pour les galeries neuves, estude neuve, cave neuve...) que dans les jardins (treilles, cabinet au centre du dédalus...). Un procès-verbal de réparations mentionne en 1689, autour de la cour, la restauration du décor sculpté (remplacement de sept bustes, réfection des autres figures restantes). De cette grande demeure subsistent la tour de l'escalier principal, au revers du n° 24 rue Saint-Aubin et, dans le couloir du n° 8 rue des Lices, une des arcades de la galerie basse détruite vers 1957, qui fermait la cour principale au sud, en bordure de la tour Saint-Aubin. Le corps de logis sud remploie une baie médiévale sur le mur-pignon sud, place Saint-Eloi. L'ensemble est démantelé en plusieurs habitations au XIXe siècle, mais déjà remanié au XVIIIe d'après les baies situées 22 rue du Musée.

Situés au sud de la tour des cloches, les jardins de l'abbé sont, au XVIe siècle, séparés de l'habitation. Ils sont agrandis en 1712 au détriment de ceux des religieux, manifestement en relation avec le nouveau logis abbatial construit au sud de la tour Saint-Aubin, à l'ouest de la vieille hôtellerie. Ce déplacement est attesté en 1736 sur le plan des échevins. Ce second logis abbatial est encore en place, au revers du 14 rue des Lices. Il conserve plusieurs cheminées du 4e quart du XVIIIe siècle. L'escalier primitif, placé en façade, a été emporté par les remaniements du XIXe siècle et remplacé par un escalier en charpente, sur l'arrière de la maison. L'élévation latérale est a été masquée en 1872 par l'actuelle façade sur rue, tandis qu'une partie des jardins, encore figurée sur le plan cadastral de 1840, est lotie en 1874.

L'hôtellerie, encore figurée sur le plan de 1802, apparaît comme un édifice de la fin du Moyen Âge. Située au n°14 rue des Lices, elle disparaît avec le percement de cette voie vers 1836.

L'infirmerie, accompagnée d'une chapelle, est placée à l'est de l'enclos sur le plan dit de Saint-Germain en 1661. On n'en connaît pas les élévations. Au sud de l'enclos, la maison de l'infirmier, du XVe siècle d'après le projet "A" de Meaux, est détruite comme les autres logis satellites (maisons du prieur, de l'aumônier...) à une date indéterminée et qui ne figurent pas sur le plan des échevins en 1736.


La Préfecture

L'abbaye est évacuée en 1790. Fortement détériorée entre 1792 et 1796, elle est occupée définitivement par l'administration départementale en 1797 avant de devenir le siège de la Préfecture en 1800. En 1801, le premier préfet de Maine-et-Loire, Pierre Montault Desilles, décide le regroupement des services au deuxième étage de l'aile est (à l'exception des Archives logées dans la sacristie et la salle capitulaire) et l'aménagement d'un appartement et de pièces de réception au premier étage de l'aile sud, au-dessus du réfectoire. En 1802 est pratiqué dans l'aile ouest un passage couvert reliant la cour du cloître et la basse-cour. A l'abandon après avoir servi de dépôt militaire pendant les guerres de Vendée, l'église est progressivement démolie (1804 : écroulement des voûtes, 1807 : démolition du porche) afin de dégager la cour d'honneur. La nef et la croisée sont totalement détruites en 1816, mais le chevet subsistera encore à l'état de traces jusque vers 1819. Entre 1809 et 1814 disparaît le vieux cloître gothique conservé par les mauristes : il n'en reste aujourd´hui que les arrachements des voûtes et quelques chapiteaux sur le mur ouest du bâtiment oriental. Durant ces mêmes années, le cloître est remplacé par des galeries à toit terrasse (oeuvre de l´ingénieur des Ponts et Chaussées Jean-François Demarie), sauf au nord où une grille encadrée de deux pavillons clôture la cour d´honneur. Cependant, l´actuel portail, provenant de l'abbaye de Fontevraud (grille du choeur de l'abbatiale), n´aurait été installé qu´en 1831. L´architecte départemental Louis François remanie en 1817 les couvertures des galeries sur cour, remplaçant les terrasses par des toitures en appentis (latéralement) et à deux versants (au centre), habillées de balustrades ; puis il achèvera en 1821-1823 l´aménagement intérieur de la galerie sud, plus profonde que les autres, qui comprend un vestibule entre deux pièces de réunion précédant la salle du Conseil général logée dans l´ancien réfectoire ; il conçoit également les lambris sculptés du salon d´honneur du préfet, au premier étage de l´aile sud. On doit à ce même architecte la création du mail précédant la cour d´entrée, à l´emplacement de l´abbatiale. Planté en 1818, cet espace public s´achève tardivement, sa régularisation et la tentative d'ordonnancement des façades se poursuivant encore en 1836-1837.

Dans les années 1830, l'enclos est réduit à l'ouest par le percement (décidé en 1825) de la rue des Lices, qui emporte notamment les jardins de l'abbé et l'ancienne hôtellerie du XVIe siècle. La tour Saint-Aubin échappe à la démolition : transformée en fabrique de plombs de chasse, elle est réparée et remaniée en couverture en 1823 (le clocheton et la partie supérieure des tourelles d'angle disparaissent) probablement par Mathurin Binet, à la suite d'un projet (non réalisé) de couverture à faibles pentes avec plate-forme d'observatoire. Classée en 1862, la tour est restaurée en 1904-1905 par Lucien Magne. L'enclos de la préfecture s'agrandit en revanche au sud, au-delà des remparts, sur le boulevard des Lices (actuel boulevard du Roi-René) qui assure une entrée sur le parc. Sa clôture (grille et pavillons) en est confiée à Mathurin Binet en 1833-1834, tandis que le parc actuel à l'anglaise est réalisé en 1835.

Intérieurement, les travaux se poursuivent dans l'aile orientale (1836-1841, toujours sous la direction de Mathurin Binet) lorsque le Conseil général quitte l'ancien réfectoire pour s'installer dans le chauffoir et le bureau du prieur. C'est alors qu'est probablement aménagé le passage reliant cour et jardin-potager, entre la salle capitulaire (laissée aux Archives) et le chauffoir, qui rationnalise les circulations (indépendance des salles, issue sur le vestibule principal dans l'axe des pièces rapportées par Louis François sur la cour d'honneur). D'après le plan de 1841, les appartements du préfet occupent déjà tout le premier étage de l'aile sud, ainsi que les pièces contiguës sur les deux ailes en retour (réception au centre, salle à manger et cuisine vers ouest, chambre, billard, bureau vers est).

Entre 1852 et 1861 sont effectués d´importants travaux de réaménagements intérieurs dans l'aile sud et dans la partie nord de l'aile ouest. En 1853-1855, Ferdinand Lachèse, architecte départemental, double la galerie sud sur cour par une nouvelle galerie plus étroite (qui rejoint celles, latérales, de 1817) et surmonte l'ensemble d'une grande salle des fêtes et d'une salle de billard s'élevant sur les deux étages carrés de l'abbaye. Aux mêmes niveaux, en retour dans l'aile ouest, est créée une grande salle à manger, achevée seulement vers 1861 et reconnaissable sur la cour par un fronton habillant le pignon nord. Elle sera remaniée intérieurement par l'architecte départemental Jules Dussauze en 1898. L´escalier d´honneur dans l´aile sud qui dessert cet étage noble est restauré durant cette période.

Transformée en orangerie depuis 1853, le réfectoire devient en 1862 la salle du Conseil général, après une lourde restauration de la voûte du rez-de-chaussée et du plancher du 1er étage sous la conduite de Ferdinand Lachèse en 1859-1861. Ainsi est libérée toute l'aile orientale au profit des Archives. L'emplacement de l'orangerie est une réelle préocupation du moment : après l'avoir envisagée accolée au sud du réfectoire et en différentes positions dans le jardin, Ferdinand Lachèse l'installe dans les années 1860 en bordure nord-est de l'enclos : le dessin qu'il en propose en 1861 reprend un premier parti de 1852. Elle disparaît en 1955 lors de l´extension du bâtiment des Archives.

Dans les années 1870-1880, des constructions annexes sur le mail accueillent de nouveaux bureaux, à l'est (cf. infra, Archives) et à l'ouest de la cour d'entrée. On doit à Ernest Dainville, architecte départemental, ou à son successeur Jules Dussauze, la surélévation d'un vieux bâtiment en rez-de-chaussée accolé à l'aile occidentale (figuré déjà sur le plan de 1661), occupé en 1886 par les bureaux du télégraphe. Cet emplacement fait l'objet à la fin du XIXe siècle d'un projet monumental, sans suite, de bâtiment d'accueil pour la préfecture. Après le vaste projet de construction du bâtiment des Archives élaboré en 1929 (cf. infra) et un certain nombre de remaniements intérieurs, dont l'aménagement en 1956 de bureaux entresolés dans l'aile est, au-dessus des trois travées sud de la salle du chapitre et au-dessus de l'ancien chauffoir, de grands travaux font disparaître, en 1973-1976, l'aile du télégraphe pour les bâtiments préfectoraux actuels (accueil, bureaux, parkings). Cette campagne menée par l'architecte Guy Lamaison selon un projet défini par Henri Enguehard en 1961 (et déjà envisagé par Ernest Bricard en 1937), consiste surtout en une surélévation de la partie médiévale (anciens celliers et greniers) et retraitement de couverture au-dessus de la salle à manger, à l'identique de l'aile en symétrie. Réalisés par Michel-Paul Masson, les derniers agrandissements de 1991 concernent le bâtiment dit des Services, situé au sud-ouest de l'ancienne basse-cour et sur le flanc ouest du jardin.

Archives départementales

Les Archives accaparent progressivement, à partir de 1797 et jusque dans les années 1950, tout le rez-de-chaussée de l'aile orientale de l'ancienne abbaye : sacristie et chapitre en 1841, puis chauffoir en 1861. Un petit bâtiment à un étage carré, accolé au pavillon d'entrée du concierge et construit peu après ce dernier, est occupé en 1841 par le premier bureau de l'archiviste. Avant les remaniements de 1954 effectués par l'architecte départemental Henri Enguehard pour en faire l'entrée de la préfecture, ce petit bâtiment est remanié en façade par Ernest Dainville vers 1887, parallèlement à des extensions en direction de l'orangerie. Comparativement à un premier dessin de 1872, celles-ci sont très modestes : deux corps en rez-de-chaussée juxtaposés, pour le bureau de l'archiviste et une salle de lecture (qui sera détruite en 1968 pour un bâtiment à trois niveaux destinés aux services du Cabinet du Préfet).

En 1929, Ernest Bricard conçoit un véritable édifice pour les Archives à l'emplacement de l'orangerie, selon deux projets de façade à parti symétrique, avec pavillons d'angle. En 1933 est proposée une façade principale, avec entrée centrale, développant un rez-de-chaussée à arcades bien dégagée sur le mail de la Préfecture qu'on propose de prolonger jusqu'au boulevard du Maréchal-Foch. Très différente du projet, la réalisation s'effectuera sur une longue durée, en quatre temps : la première tranche est réalisée en 1934 avec le pavillon droit (ouest). En 1938 est envisagée une seconde tranche concernant la partie centrale jusqu'au pavillon gauche. Finalement réduite à quatre travées (selon un parti différent de celui de 1938), cette seconde tranche est réalisée en 1954 par Henri Enguehard, associé et successeur de Bricard. En 1955, le prolongement du mail est toujours d'actualité, mais le parti a complètement évolué : un plan en T à 16 travées définissant un rythme de 3-5-3-5 au-delà des parties existantes. Le parti a encore changé en 1957 : le "mail prolongé" est abandonné et il n'y a dès lors plus de façade d'entrée : l'élévation présentée donne sur le jardin. Maintenu, le projet "d'extension totale en T" est proposé selon un rythme différent, en trois modules identiques de 4 travées, reprise du module réalisé en 1954. Mais on envisage parallèlement des projets "d'extension réduite" : un projet "A" de 7 travées (4 +3) définit sur le corps principal un rythme encore équilibré (4-3-4), entre pavillon occidental et un avant-corps oriental . Mais un projet "V" de même date, rectifié en mai 1958, opte pour deux modules de 8 travées (3 +5) avec suppression de l'avant-corps oriental. Ce dernier parti simplifié et sans rythme est celui de la troisième tranche, réalisée en 1959. Enfin en 1967, une quatrième tranche toujours confiée à Henri Enguehard, consiste en un corps de bâtiment bas à deux niveaux, adressé boulevard Foch et comprenant entrée principale (l'accès se faisant auparavant sur le mail de la Préfecture), bureaux, salles de tri, de conférence et de lecture. En 1987, les Archives sont déplacées dans un nouvel édifice plus spacieux, 106 rue de Frémur. Affecté au Conseil général, le bâtiment est alors remanié en couverture par des longs pans brisés, en harmonisation avec les bâtiments conventuels.


Découvertes archéologiques des XIXe et XXe siècles

1836 : mise au jour, côté cloître, des arcades du XIIe siècle à hauteur de la salle du chapitre et de la sacristie, lors des travaux d'aménagement de la salle du Conseil général dans l'aile orientale.

1853 : mise au jour par Ferdinand Lachèse de la porte de communication entre cloître et réfectoire lors des travaux d'aménagement de la salle des fêtes.

1934 : dégagement des fondations de la chapelle orientée sud-ouest dite Saint-Germain, lors de la première tranche de construction du bâtiment des Archives, par Henri Enguehard.

1954 : dégagement du côté de la salle du chapitre des arcades du cloître (découvertes en 1836), lors de l'installation du service des cartes grises dans la salle capitulaire.

1969-1970 : découverte des fenêtres romanes du réfectoire lors de la seconde restauration de cette salle par Henri Enguehard ; découverte des bases de la chapelle orientée du bras sud du transept, dite Saint-Benoît.

1982 : nouveau dégagement et relevé des substructions de la chapelle Saint-Germain ; découverte de la porte de fer du chartrier, du XIIe siècle, dans l'oratoire du prieur, au premier étage du pavillon sud-est.

1986 : dégagement sous la salle du chapitre datant d´environ 1130, des vestiges de trois édifices successifs : les deux premiers non datés et le troisième peut-être du XIe siècle, avant l´incendie de 1032. Découvertes effectuées lors de la restauration de cette salle et de ses arcades sur le cloître. Fouilles conduites par Daniel Prigent, archéologue départemental et présentées dans une crypte inaugurée en 1991.

1992-1993 : restauration des arcades de la galerie orientale du cloître.


II. COMPLEMENTS DESCRIPTIFS

Abbatiale (restitution) : plan en croix latine, trois vaisseaux. Au XIe siècle, mur en petit appareil de grès et micaschiste sur le bas côté nord. Au XIIe, nef et choeur voûtés en berceau plein cintre, collatéraux et déambulatoire voûtés d'arêtes.

Tour des cloches ou tour Saint-Aubin : moyen appareil de tuffeau, salle basse couverte d'une voûte d'arêtes, salle haute couverte d'une coupole sur pendentifs. Toit polygonal et lanterneau (disparu en 1823). Tourelles d'angle à flèches de maçonnerie.

Bâtiments conventuels médiévaux (restitution) : en rez-de-chaussée (réfectoire, aile ouest des communs) ou à un étage (aile est des dortoirs). Réfectoire couvert de quatre voûtes d'ogives. Grande cave de l'aile ouest voutée en berceau brisé.

Bâtiments conventuels classiques : moellons de schiste enduit, deux étages carrés, étage en surcroît, sauf l'aile ouest dans sa partie nord (cave et grenier), avant la surélévation de 1975. Sacristie, chapitre, bureau du prieur, réfectoire, salle des hôtes : couverts de voûtes d'arêtes à lunettes. Salle du lavabo et cuisine : couvertes de coupoles sans trompe. Oratoire du prieur, chartrier en entresol, pièces annexes de la cuisine, couloir, petites pièces au rez-de-chaussée et entresolées à proximité de la salle des hôtes : voûtes en berceau plein cintre. Escaliers : coupole (au-dessus de l'escalier d'honneur et de l'escalier des matines), voûte en berceau plein cintre, voûte d'arêtes, lunettes, voûte plate, voûte en demi berceau. Dallage de marbre rose et noir dans le vestibule de l'escalier d'honneur, d'origine. Escalier d'honneur et escalier de service sud-ouest : garde corps d'origine.

Logis abbatial du XVIIIe siècle : moellons de schiste enduit, sous-sol voûté en berceau plein cintre (moellonnés en schiste), rez-de-chaussée surélevé, un étage carré, étage en surcroît. Balcon sur jardin en fer forgé.

Bâtiments du XIXe siècle : constructions annexes sur le mail de la Préfecture : en tuffeau et schiste : en rez-de-chaussée ou à un étage carré, étage de comble. Galeries sur la cour d'honneur et pavillons à toit en terrasse. Couverture en tôle ondulée sur la salle des fêtes. Fausse voûte en arc de cloître au-dessus de la salle des fêtes et de la grande salle à manger.

Bâtiment des Archives : béton, quatre étages carrés, surélévé d'un étage en surcroît. Dernière extension de 1967 : un étage carré et toit en terrasse remplacé après 1987 par un étage en surcroît.



Annexes

  1. - AD Maine-et-Loire : notaire Jean Huot. Marché de réfection des couvertures avec Guillaume Machefer, couvreur d'ardoises (12 janvier 1539). Extrait :

    ...En la cour du roy notre sire à Angiers etc personnellement estably Guillaume Machefer couvreur d'ardoise demeurant à Angiers soubzmettant etc confesse etc avoir promis par ces présentes, promet doibt et demeure tenu réparer de son mestier de couverture bien et deument les choses qui s'ensuyvent, c'est à scavoir l'église, les grands clouaistres, dortouers, latrines estant au bout dud. dortoir et la maison abbatiale du moustier et abbaye de saint-Aulbin de ceste ville d'Angers, avec le ballet estant au-dessus l'entrée de la cave nommée les tonnes et appentis estant au bout de lad. cave...

    - A.D. Maine-et-Loire : notaire Jean Huot, Marché de réparation du beffroi de la tour Saint-Aubin avec le charpentier Pierre Le Roy (12 janvier 1541). Extrait :

    ...ledit Le Roy avoir par ces présentes promet doibt et demeure tenu réparer de son mestier de charpentier bien et deument la charpente du beffroy estant en la tour de lad. St Aulbin d'Angiers et rendre lad. charpente en bonne [...] tellement que les cloches puissent être sonnées et en sorte et manière [...] qu'il ne défaille aucune chose à lad. charpente et y mettre des pièces neuves de grosseur compétente ou il en [...] et rendre lad. besougne faicte et parfaicte bien et deument dedans la feste de Penthecouste prochain venant, et planchayer dessus le plancher de la sonnerie de lad. tour...

    - A.D. Maine-et-Loire : H 13, Fragments d'un livre de comptes relatif à divers travaux de construction et de réparation essentiellement pour le logis de l'Abbé, [1ère moitié XVIè siècle]. Extraits :

    [Folio 1]. Le sabmedi XXIè jour de novembre l'an de cedit compte fut payé à Mathurin Renault l'un des gens de Jean Delespine maczon la somme de trente et un sols huit deniers tournois pour dixneuf jours par luy faictes pour emplaster les pattes qui tiennent la menuiserie et croixsées de la gallerie et les gonts des huyseries de ladite gallerie et avoir faict des felleures ausdites huyseries et d'aultres qui sont en l'estude de monsieur et avoir faict ung pignon de mur davant le jeu de paume sur l'estude meusme de monsieur et avoir faict un bout de mur à chaulx et sable entre deux murailles près le bout de la viz neusve des galleries et avoir faict plussieurs aultres choses tant en ladite estude de monsieur que desdites viz et galleries, pour ce à payé ledit recepveur audit Renault trente et un sols huit deniers.
    Pour l'achapt de troys seilletz ung mys à l'huys de ladite estude et ung à l'huys de lad viz neusve et l'aultre à l'huys de la cave neusve a payé ledit recepveur deux sols six deniers
    .

    [Folio 1 verso]. Le vendredi penultième jour d'octobre le sabmedi et mardi ensuivans en l'an de ce présent compte fut Jehan Pauvert et ses gens pour reterrasser et enforsir le plancher dessus l'estude de monsieur et pour cotrelater et terrasser tout ung des coustez du cabinet de ladite estude et lentredeux des huys de ladite estude et la garde robbe de monsieur et aussi pour avoir terrasser troys burrelles en ladite estude de monsieur sur le jeu de billle et pour avoir carrellé entre huys hault de la viz et la haulte gallerie toutes icelles choses faictes davant que monsieur en soit marchandé avecques ledit Pauvert pour blanchir et carreller ladite estude et la gallerie basse dont a payé ledit recepveur audit Pauvert pour six journées et demi pour paye et despens la somme de vingt et ung sols huyt deniers tournois ....

    [Folio 2]. Pour l'achapt de deux cens et [demi?] de latte pour cotrelitter l'estude de monsieur vers la haulte gallerie et lentredeux des huys de ladite estude et la garde robbe de monsieur pour ce a payé ledit recepveur dix sols.

    Pour deux cens de careau et la chaulx et sable mys à l'entrée de la haulte gallerie n'en compte rien ledit recepveur pour ce que fut prins de ladite provision pour ce......rien.

    [Folio 2 verso]. Audit moys de janvier l'an de cedit compte au raport de maitre Jehan fut fait par Jehan Vielleville et ses gens cinq journées tant pour empastrer et assoirs les grilles de l'estude de monsieur vers le jeu de paulme et ses bareaux neufs mys en la grille de la garde robbe de monsieur que pour meptre les gonts de deux huysseries de ladite viz neusve des galleryes pour ce a payé ledit Recepveur audit Viellevillle seize sols huit deniers.

    [Folio 3 verso]. Item a payé ledit recepveur à Jehan Girard Vielleville pour avoir par luy et ses gens taillé mys et assis led. pavé la somme de sept livres dis sols tournois pour paye et despens...

    [Folio 5]. Audit temps fut ung des gens dudit Passin par le comandement de maitre Jehan pour rompre et sayer plussieurs boys et sollyveaux en la vielle estude de monsieur et en une basse chambre soubz ladite estude où de présent est la viz neusve des galleryes pour ce a payé ledit recepveur audit Passin trois sols quatre deniers.

    Le jeudi pénultième jour de juillet par ce comandement de monsieur fut abatu deux chesnes à la Salle pour faire deux poultreaux qui sont mys soubz l'estude de monsieurs pour porter ung parpaing qui est ens ladite estude...

    [Folio 5 verso]. ...mettre et assoier troys solliveaux au plancher de l'estude de monsieur sur le jeu de bille...

    - A.D. Maine-et-Loire. 5 E1702, Procès verbal des réparations à faire dans l'abbaye et propriétés. Extraits relatifs au logis abbatial (4 août 1689).

    [Folio 12] Aux deux angles de lad. maison (abbatiale) sont deux degrés de pierre de Rairye qui servent pour l'exploitation de toute ladite maison, dont il y en a un joignant le bucher auquel il y a six marches fendues..., et l'autre qui est à noyau avec sa sarche ronde, est sur main droite en entrant dont la plus grande partye des marches sont aussy fendues et rompues et quelques unes usées par le pas, auquel degré il seroit necessaire de remettre huit marches neusves et racommoder les autres, plus remettre quatre barreaux de pierre d'ardoise au plafond dudit degré avec un [seillet?] de pierre de Rairye à la porte par où l'on descend à la cuisine, et refaire le perron de pierre de Rairye qui est au pied dudit degré, faut aussy reprendre le jambage d'une porte qui répond dudit degré à la chambre qui est sur la cuisine.....Ensuite nous avons visité les caves de ladite maison et premièrement la grande cave qui est soubz la salle et chambres au bout d'icelles, laquelle cave est soubz plancher et a son ouverture sur le carroy de la rue.....à côté de ladite cave est une autre petite cave aussi soubz plancher et soubz partie de la cuisine...

    [Folio 12 v°] Plus autour de la cour de ladite maison et sur le grand portail il faut remettre sept bustes de plastre avec partye de leurs consolles en la place de ceux qui y estoient et dont il reste encore quelques fragments, et racomoder les autres qui sont des figures, comme aussi remettre le nombre de douze vases qui estoyent posés sur le mur du devant de la cour, pourquoi appartient la somme de cent livres.

    Plus faut racomoder les architectures des fenestres et lucarnes qui sont tant autour de lad. cour que sur les rues, ensemble les rondelis des pignons.....et rehauss[...] ...le mur tant par le dedens que par dehors mesme du costé de la rue Courte...




Illustrations

Fig. 1
Vue de situation.
Fig. 2
Vue de situation.
Fig. 3
Plan-masse légendé et limites de l'enclos. Fond : plan cadastral, 1980, section DH, éch. 1 : 1 000, réduit.
Fig. 4
Plan-masse et limites de l'enclos. Fond : plan cadastral, 1840, section J, éch. 1 : 1 000
Fig. 5
Localisation des vestiges de l'église abbatiale sur le plan cadastral, 1980, section DH, éch. 1 : 1 000, agrandi au 1 : 500
Fig. 6
Plan schématique des couvertures, d'après les relevés d'Henri Enguehard et G. Lamaison (architectes), 1973-1985, éch. 1 : 1 000.
Fig. 7
Fonction des pièces au rez-de-chaussée. Fond de plan : relevé Henri Enguehard et G. Lamaison (architectes), 1973-1985, éch. 1 : 200, réduit au 1 : 1 000
Fig. 8
Fonction des pièces du premier étage occupé par les salles d'apparat, les appartements du préfet et les bureaux du corps préfectoral. Fond de plan : relevé d'Henri Enguehard et G. Lamaison (architectes), 1973-1895, éch. 1 : 200, réduit au 1 : 1 000.
Fig. 9
Abbatiale, plan de la chapelle rayonnante Saint-Germain (première chapelle sud du chœur à la suite du transept), fouille de juin 1982. Identification des murs dégagés, d'après J. Mallet. Fond de plan de la SCPA Lamaison-Masson, 1982, éch. 1 : 50, réduit.
Fig. 10
Réfectoire, élévation intérieure nord, d'après relevé par S. Weygand, 1985, réduit au 1 : 250. localisation des retombées de voûtes actuelles du XVIIIe et des voûtes médiévales disparues, ainsi que des baies romanes partiellement conservées.
Fig. 11
Plan de l'abbaye Saint-Aubin d'Angers, dit plan de saint-Germain : état avant reconstruction des bâtiments conventuels, lavis, 1661, éch. 1 : 470.
Fig. 12
Plan sommaire avant la reconstruction des bâtiments conventuels, [17e siècle].
Fig. 13
Dessin du dortoir à bâtir à Saint-Aubin, fait par Dom Journeaux...Premier estage... : plan au rez-de-chaussée de l'aile est, 1674.
Fig. 14
Dessin du dortoir à bâtir à Saint-Aubin, fait par Dom Journeaux... Second et troisième estage : plan aux 2e et 3e étages de l'aile est, projet, 1674.
Fig. 15
Projet global de reconstruction, attribué à Marc Rivard : plan du rez-de-chaussée (version sans le rabat) et élévation sur jardin de l'aile orientale des dortoirs, 1680.
Fig. 16
Projet global de reconstruction, attribué à Marc Rivard, 1680 : plan du niveau intermédiaire correspondant au vide du réfectoire et élévation sur jardin de l'aile du réfectoire
Fig. 17
Projet global de reconstruction, attribué à Marc Rivard : plan d'étage (au-dessus du réfectoire) et coupe longitudinale et transversale de l'aile orientale des dortoirs, 1680.
Fig. 18
Projet global de reconstruction, attribué à Marc Rivard : plan de l'étage de comble, avec coupe longitudinale de l'aile ouest (salle des hôtes) et deux coupes transversales de l'aile sud, sur la cuisine et le réfectoire, 1860.
Fig. 19
Projet "A" de 1685 : légende, dessin, 1685.
Fig. 20
Projet "A" de 1685 : plan du rez-de-chaussée.
Fig. 21
Projet "A" : plan du niveau intermédiaire correspondant au vide du réfectoire, 1685.
Fig. 22
Projet A : plan de l'étage au-dessus du réfectoire, 1685.
Fig. 23
Projet "A" : plan de l'étage de comble, 1685.
Fig. 24
Monasterium Sancti Albini Andegav, vue cavalière de l'abbaye au sud, correspondant approximativement au projet "A" : détail sur la légende, dessin, [v. 1685].
Fig. 25
Monasterium Sancti Albini Andegav, vue cavalière de l'abbaye au sud, correspondant approximativement au projet "A" : détail sur la légende, dessin, [v. 1685].
Fig. 26
Monasterium Sancti Albini Andegav, vue cavalière de l'abbaye au sud, correspondant approximativement au projet "A" : détail sur les parties sud, dessin, [v. 1685].
Fig. 27
Monasterium Sancti Albini Andegav, vue cavalière de l'abbaye au sud, correspondant approximativement au projet "A" : détail sur le cloître, l'église et le jardin à l'est, dessin, [v. 1685].
Fig. 28
Monasterium Sancti Albini Andegav, vue cavalière de l'abbaye au sud, correspondant approximativement au projet "A" : détail sur le logis de l'Abbé en A et sur l'hôtellerie en C, dessin, [v. 1685].
Fig. 29
Projet "B" : plan du rez-de-chaussée de l'aile orientale avec la salle du chapitre formant avant-corps, 1685.
Fig. 30
Projet "B" : plan d'ensemble avec la salle du chapitre formant avant-corps, niveau intermédiaire correspondant au vide du réfectoire, 1685.
Fig. 31
Projet "B" : plan d'ensemble avec la salle du chapitre formant avant-corps, étage carré au-dessus du réfectoire, 1685.
Fig. 32
Projet "B" : plan d'ensemble avec la salle du chapitre formant avant-corps, étage carré au-dessus du réfectoire, 1685.
Fig. 33
Projet de régularisation dit "au quarré" : texte de présentation, manuscrit, 1685.
Fig. 34
Projet de régularisation dit "au quarré" : plan au rez-de-chaussée, la salle du chapitre entourée de cours, 1685.
Fig. 35
Projet de régularisation dit "au quarré" : vue cavalière au sud, relevé inachevé, dessin, 1685.
Fig. 36
Projet de régularisation dit "au quarré" : vue cavalière au sud, détail sur le cloître, relevé inachevé, dessin, 1685.
Fig. 37
Plan-masse, extrait du plan dit des Eschevins, 1736.
Fig. 38
Plan général de la ci-devant abbaye de Saint Aubin... avec les changements projettés pour l'établissement de la Préfecture du Département de Mayne et Loire, 1802.
Fig. 39
Démolition du porche de l'église abbatiale et premiers aménagements pour la préfecture (cour, corps de garde, secrétariat) : plan partiel au sol, 1807.
Fig. 40
Dépt de Maine-et-Loire. Plan de la cour de la Préfecture à Angers avec indication d'une nouvelle galerie autour de la cour, 1808.
Fig. 41
Galeries sur la cour d'honneur : projet de modification des couvertures et du couronnement (par des balustrades), élévations et coupes, par L. François, 1816.
Fig. 42
Plan et coupe des vestibules et des nouvelles salles de la préfecture d'Angers pour les décorations de l'intérieur... pour être joint au devis estimatif rédigé par nous L. François, 1821.
Fig. 43
Plan d'une partie du mail en face de la Préfecture, avec indication des vestiges de l'abbatiale Saint-Aubin et élévation des murs à construire pour la clôture du mail, par L. François, 1818.
Fig. 44
Coupe et élévation des murs à construire pour la clôture du nouveau mail au devant de la Préfecture d'Angers... : projet pour la partie orientale, par L. François, 1823.
Fig. 45
Plans, coupes et élévations d'une grille dans toute la longueur des bâtiments de la Préfecture d'Angers. Les pavillons se trouvent placés à 10 m en dehors de chaque côté des bâtiments..., projet avec situation sur le bd du roi René, par M. Binet, 1834.
Fig. 46
Préfecture : plan du rez-de-chaussée, par Mathurin Binet, 1841.
Fig. 47
Préfecture : plan du 1er étage, par Mathurin Binet, 1841.
Fig. 48
Préfecture : plan du 2e étage, par Mathurin Binet, 1841.
Fig. 49
Hôtel de la Préfecture, appropriation du rez-de-chaussée, état actuel : coupes et élévation de l'ancien réfectoire (dit orangerie), du lavabo (dit vestibule) et de la galerie sud (dit dépôt) de l'ancienne abbaye Saint-Aubin, par F. Lachèse, 1853.
Fig. 50
Appropriation du rez-de-chaussée au besoin des grandes réceptions, fêtes et bals - Projet - Restauration des salons : coupes des anciens réfectoire et lavabo ainsi que de la galerie neuve sur la cour d'honneur, par E. Lachèse, 1852.
Fig. 51
Projet d'agrandissement pour réceptions et fêtes. Elévation (état actuel). Plan [au rez-de-chaussée], 1853.
Fig. 52
Coupes longitudinale et transversale de la salle des fêtes, projet, par F. Lachèse, 1853.
Fig. 53
Hôtel de la Préfecture. Projet d'augmentation des Archives générales : coupe en travers, coupe sur la longueur, plan, par F. Lachèse [?], 1857.
Fig. 54
Travaux de consolidation et de restauration nécessités par le mauvais état de la voûte de l'ancien réfectoire servant aujourd'hui d'orangerie. Elévation de la façade vers midi. Etat actuel, par E. Lachèse, 1859.
Fig. 55
Travaux de consolidation et de restauration nécessités par le mauvais état de la voûte de l'ancien réfectoire servant actuellement d'orangerie : coupes de l'aile sud (ancien réfectoire) et de la salle-à-manger projetée (aile ouest), par F. Lachèse, 1859.
Fig. 56
Plan général de l'édifice, avec les projets de localisation de l'orangerie (annexé à un cahier des charges pour la construction de l'orangerie), par E. Lachèse, 1866.
Fig. 57
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Construction d'une orangerie dans le jardin potager. Projet : plan de situation, plan du bâtiment, coupe transversale, élévations principale et latérale, par F. Lachèse, 1861.
Fig. 58
Projet de salle-à-manger pour la Préfecture : plan du plafond et élévations, par F. Lachèse, 1861.
Fig. 59
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Restauration de la grande salle à manger. Modification de la corniche et des panneaux sur les murs. Elévation [côté de la cour des communs], dessin, par J. Dussauze, 1898.
Fig. 60
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Restauration de la grande salle à manger. Modification de la corniche et des panneaux sur les murs. Elévation, par J. Dussauze, 1898.
Fig. 61
Département de Maine-et-Loire. Projet de construction d'une grande salle pour les audiences du Conseil de Préfecture... : plan du rez-de-chaussée, par E. Dainville, 1872.
Fig. 62
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Agrandissement des bureaux. Façade principale : projet d'élévation sur le Mail, par E. Dainville, 1882.
Fig. 63
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Etat actuel. Rez-de-chaussée, dessin, par E. Dainville, 1886.
Fig. 64
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Etat actuel, 1er étage, dessin, par E. Dainville, 1886.
Fig. 65
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Etat actuel., 2e étage, dessin, par E. Dainville, 1886.
Fig. 66
Projet de construction d'un cabinet pour l'archiviste et d'une pièce adjacente pour les employés et le public, au sud-est de l'aile orientale occupée au rez-de-chaussée par les archives, [v. 1890].
Fig. 67
Projet de reconstruction de l'aile ouest avec adjonction d'un bâtiment neuf en bordure nord, sur le Mail, dit 1er projet : plan du rez-de-chaussée, 4e quart 19e siècle.
Fig. 68
Projet de reconstruction de l'aile ouest avec adjonction d'un bâtiment neuf en bordure nord, sur le Mail, dit 1er projet : plan du 1er étage, dit 1er projet : 2 planches, 4e quart 20e siècle.
Fig. 69
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Projet d'un nouveau bâtiment en bordure nord de l'aile ouest, sur le Mail : façade sur le Mail, 4e quart 19e siècle.
Fig. 70
Projet de reconstruction de l'aile ouest avec adjonction d'un nouveau bâtiment en bordure nord, sur le Mail : élévation latérale, sur la cour d'honneur, 4e quart 19e siècle.
Fig. 71
Tour des cloches dite tour Saint-Aubin : plans, coupe, élévation, par Gustave Raulin, 1881.
Fig. 72
Tour Saint-Aubin : plans, coupes, élévations, relevés de détail après la restauration de L. Magne, par E. Sènes, 1905.
Fig. 73
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin : coupe-élévation avec son adaptation à un usage industriel de fabrication d'étains et de plombs de chasse, 2e moitié 19e siècle.
Fig. 74
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Agrandissement des Archives. Avant-projet : plan de l'aile est de l'abbaye Saint-Aubin et du nouveau bâtiment des Archives, par E. Bricard, 1929.
Fig. 75
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Agrandissement des Archives. Avant-projet n° 1. Façade sur les jardins, dessin, par E. Bricard, 1929.
Fig. 76
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Agrandissement des Archives. Avant-projet n° 2. Façade sur les jardins, dessin, par E. Bricard, 1929.
Fig. 77
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Archives. Etat actuel : plan au rez-de-chaussée de l'aile est et de l'orangerie, par E. Bricard, 1933.
Fig. 78
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Agrandissement des Archives. Plan d'ensemble, par E. Bricard, 1933.
Fig. 79
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Agrandissement des Archives. Plan du rez-de-chaussée, projet définitif après prolongement du mail de la Préfecture, par E. Bricard, 1933.
Fig. 80
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Agrandissement des Archives. Façade principale sur le mail prolongé de la Préfecture, dessin, par E. Bricard, 1933.
Fig. 81
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Agrandissement des Archives. Construction de l'aile droite. Plan du rez-de-chaussée, par E. Bricard, 1933.
Fig. 82
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Agrandissement des Archives. Coupe longitudinale sur l'aile projetée et élévation sur le mail, par E. Bricard, 1933.
Fig. 83
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Agrandissement des Archives. Aile droite - partie est. Plan de masse et de situation, par H. Enguehard, 1955.
Fig. 84
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Avant-projet total en T d'extension des archives (4 travées 4 baies). Plans du rez-de-chaussée et entresol, des 1er, 2e et 3e étages, du 4e étage, façade sud sur le jardin, par H. Enguehard, 1957.
Fig. 85
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture - Avant-projet A réduit d'extension des archives : façade sud sur les jardins et pignon est en retour, par H. Enguehard, 1957.
Fig. 86
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Extension des Archives départementales. 3e tranche : façade principale côté mail, façade latérale est, plan, par H. Enguehard, 1959, éch. 1 : 100.
Fig. 87
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Extension des Archives départementales. 3ème tranche : coupe transversale, par H. Enguhard, 1959.
Fig. 88
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Archives départementales. 4e tranche. 4e projet : plan du rez-de-chaussée, par H. Enguehard, 1967 et 1968.
Fig. 89
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Archives départementales 4e tranche. 4e projet : plan du 1er étage, par H. Enguehard, 1967 et 1968.
Fig. 90
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture. Archives départementales. 4e tranche. 4e projet : façade nord, relevé, par H. Enguehard, 1967 et 1968.
Fig. 91
Aile ouest. Avant-projet d'extension. Façade sur cour d'honneur, dessin de G. Lamaison, 1973.
Fig. 92
Département de Maine-et-Loire. Hôtel de la Préfecture - Angers - Aile ouest, projet de surélévation façade nord-ouest sur cour des services, avec coupe sur les bâtiments neufs, dessin, par H. Enguehard, 1975.
Fig. 93
Eglise et bâtiments conventuels : plan restitué du 1er niveau au XIIIe siècle, par G. Camut, d'après J. Mallet, 1985.
Fig. 94
Vue cavalière de l'abbaye depuis l'est, 1680, vue d'ensemble, gravure, 17e siècle.
Fig. 95
Vue cavalière de l'abbaye depuis l'est, 1680, détail sur la partie supérieure droite, (cloître 8), ancienne hôtellerie (4), tour des cloches (3) et logis abbatial (2), gravure 17e siècle.
Fig. 96
Vue cavalière de l'abbaye depuis l'est, 1680, détail sur la partie centrale : bâtiments conventuels et église, gravure 17e siècle.
Fig. 97
L'église et maison conventuelle de St-Aubin comme on la voit de dessus les fossés de la ville : vue à l'est, dessin, par J. Ballain, 1710.
Fig. 98
L'église et abbaye de Saint Aubin à Angers : façades ouest et sud de l'église, dessin, par J. Ballain, 1716.
Fig. 99
La maison abbatiale de Saint Aubin : façade sur jardin de l'aile sud du réfectoire, dessin, par J. Ballain, 1716.
Fig. 100
Esquisse des ruines de l'église de l'abbaye royale de St Aubin d'Angers, prise derrière l'autel : vestiges du choeur et du déambulatoire, dessin aquarellé, par A. Morillon, 1811.
Fig. 101
La tour des cloches dite tour Saint-Aubin vue depuis l'abbatiale, avec l'ancienne hôtellerie à gauche et des parties constituantes du logis abbatial à droite (chapelle, mur de clôture de la cour d'entrée), dessin, par Donas-Roch, 1er quart 19e siècle.
Fig. 102
Tour St Aubin, dessin, par P. Hawke, 1839.
Fig. 103
Ruines de Saint-Aubin : ruines de l'église au 1er plan et élévation est de la tour des cloches dite tour Saint-Aubin, dessin, par F. Benoist, 1ère moitiè 19e siècle, [av. 1843].
Fig. 104
Tour Saint-Aubin, vue de situation depuis l'impasse Saint-Eloi (détruite, à l'emplacement de l'actuelle place Saint-Eloi), dessin, par F. Benoist, 19e siècle, [av. 1843].
Fig. 105
Arcades situées au pied de la tour St Aubin (Angers), dessin, par A. Ruel, 1917.
Fig. 106
Vue générale à l'est de la tour Saint-Aubin, avant restauration, photogr., fin 19e siècle.
Fig. 107
Angers - La Préfecture : élévation principale sur la cour d'honneur, carte postale, d'après photogr., de R. Rivière, début 20e siècle.
Fig. 108
Abbaye, aile orientale : façade est, sur le jardin potager, trois-quarts droit, photogr., 1932.
Fig. 109
Eglise abbatiale, dégagement en 1934 de la chapelle Saint-Germain sur la face sud du choeur 2e plan à droite, prolongée par une absidiole orientée. Entre les deux, un mur probablement de la fin du XVIIe ou du XVIIIe siècle, photogr., 1934.
Fig. 110
Les archives et l'orangerie, façades sud, sur le jardin-potager, photogr., [1959].
Fig. 111
Vue aérienne verticale du centre ville : secteur sud-est, de l'abbaye Saint-Aubin au logis Barrault, photogr., de J. Evers, 2e quart 20e siècle.
Fig. 112
Maquette de 1988 ,par G. Camut, des bâtiments actuels, vue d'ensemble au nord.
Fig. 113
Maquette des bâtiments actuels, par G. Camut, 1988 : vue d'ensemble à l'ouest.
Fig. 114
Maquette des bâtiments actuels, par G. Camut, 1988 : vue d'ensemble au sud.
Fig. 115
Maquette des bâtiments actuels, par G. Camut, 1988 : vue d'ensemble à l'est.
Fig. 116
Reconstitution de l'abbaye avant les reconstructions mauristes, maquette de 1988 par G. Camut, d'après J. Mallet : vue d'ensemble au nord, avec les maisons de la rue Saint-Aubin et l'église paroissiale Saint-Michel-la-Palud adossée à l'abbatiale.
Fig. 117
Reconstitution de l'abbaye avant les reconstructions mauristes, maquette de 1988 par G. Camut, d'après J. Mallet : vue d'ensemble à l'ouest, avec le logis abbatial à gauche de la tour Saint-Aubin.
Fig. 118
Reconstitution de l'abbaye avant les reconstructions mauristes, maquette de 1988 par G. Camut, d'après J. Mallet : vue d'ensemble au sud, avec le logis abbatial à gauche de la tour Saint-Aubin.
Fig. 119
Reconstitution de l'abbaye au XIIIe siècle, maquette de 1988 par G. Camut, d'après J. Mallet : tour des cloches et abbatiale vues du nord-ouest.
Fig. 120
Reconstitution de l'abbaye au XIIIe siècle, maquette de 1988 par G. Camut, d'après J. Mallet : façade nord de l'abbatiale.
Fig. 121
Reconstitution de l'abbaye au XIIIe siècle, maquette de 1988 par Guy Camut, d'après Jacques Mallet, 1985 : vue d'ensemble à l'est avec le long bâtiment du dortoir au 1er plan.
Fig. 122
Reconstitution de l'abbaye au XIIIe siècle, maquette de 1988 par Guy Camut, d'après Jacques Mallet, 1985 : galerie est du cloître vue côté cour avec écorché sur les arcades entre cloître et salle du chapitre.

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Fig. 123
Choeur de l'abbatiale : dégagement en juin 1982 de la chapelle Saint-Germain. Vue générale vers l'est. Au 1er plan : chapelle rayonnante. Au-delà : absidiole orientée. Entre les deux : un mur probablement postérieur à 1856.
Fig. 124
Plan d'une partie du jardin de l'hôtel de préfecture d'Angers avec la ligne de démarcation qui indique la clôture à observer entre ce jardin et les propriétés Bergeret et Launais, à l'extrémité est de la rue Saint-Aubin, par L. François, 1818.
Fig. 125
Vue du mail de la Préfecture, en axe est-ouest, vers la rue des Lices et la tour Saint-Aubin, photogr., [v. 1891].
Fig. 126
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin : élévation est, vue depuis le mail de la préfecture.
Fig. 127
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin, élévations extérieures ouest et sud : détail sur les parties hautes.
Fig. 128
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin, salle basse : angle nord-ouest.
Fig. 129
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin, salle basse : angle sud- ouest.
Fig. 130
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin, salle haute : élévation intérieure nord.
Fig. 131
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin, salle haute : élévation intérieure nord : détail sur la baie murée.
Fig. 132
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin, salle haute : élévation intérieure est.
Fig. 133
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin, salle haute : élévation intérieure sud.
Fig. 134
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin, salle haute : élévation intérieure ouest. A gauche, le puits.
Fig. 135
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin, salle haute : coupole de couvrement.
Fig. 136
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin, chambre des cloches, vue partielle de la structure au sol destiné à supporter le beffroi.
Fig. 137
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin, chambre des cloches : détail sur l'un des angles, à la retombée d'une trompe.
Fig. 138
Tour-clocher dite tour Saint-Aubin, chambre des cloches : partie supérieure et charpente vues en contre-plongée.
Fig. 139
Vue d'ensemble des vestiges de l'abbatiale sur le Mail de la Préfecture (face nord, parcelles cadastrales 1980 DH 181 à 185).
Fig. 140
Vestiges de l'abbatiale, remployés sur le mail de la Préfecture à l'ouest de la rue Saint-Martin : baies du XIe siècle et colonnes occidentales du collatéral nord appartenant à la reconstruction du XIIe siècle. Face intérieure nord.
Fig. 141
Vestiges de l'abbatiale, remployés dans des demeures (revers des 38-40 rue Saint-Aubin et du 7 Mail de la Préfecture) : baie du XIè siècle et colonnes orientales du collatéral nord appartenant à la reconstruction du XIIè siècle.
Fig. 142
Choeur de l'abbatiale : dégagement en juin 1982 de la chapelle rayonnante Saint-Germain. Vue de l'absidiole orientée, vers l'est. Au 1er plan, fondation d'un mur probablement postérieur à 1856, détruit. A gauche : mur d'une fosse d'aisance de 1856.
Fig. 143
Choeur de l'abbatiale : dégagement en juin 1982 de la chapelle rayonnante Saint-Germain. Vue intérieure de la chapelle vers l'ouest. Au premier plan à gauche : angle bûché à l'angle de l'absidiole orientée et de la chapelle.
Fig. 144
Vue d'ensemble au nord, sur la cour d'honneur.
Fig. 145
Aile méridionnale, élévation sur cour : baie du premier étage.
Fig. 146
Vue partielle de l'abbaye, sur la cour d'honneur (ailes sud et est) et du bâtiment des Archives, sur le Mail.
Fig. 147
Aile ouest de l'abbaye : façade sur la cour d'honneur et bâtiment de la préfecture, sur le mail.
Fig. 148
Aile ouest sur la cour d'honneur, pendant travaux : vue sur la cour, depuis le portail d'entrée.
Fig. 149
Aile ouest sur la cour d'honneur, pendant travaux : vue depuis le mail, au nord-ouest.
Fig. 150
Pavillons et clôture du jardin de la Préfecture, sur le boulevard du Roi René.
Fig. 151
Jardin de la préfecture et abbaye : vue d'ensemble au sud.
Fig. 152
Abbaye, élévation sur le jardin, au sud : corps principal et pavillon est.
Fig. 153
Aile sud de l'abbaye, élévation sud, sur le jardin : détail sur le balcon du premier étage.
Fig. 154
Abbaye, élévation sud sur le jardin : partie ouest. Avec vue partielle du bâtiment dit des Services.
Fig. 155
Bâtiment dit des services : vue d'ensemble du sud-est, sur le jardin de la préfecture.
Fig. 156
Abbaye : élévation orientale, sur le jardin potager. A droite, vue partielle du bâtiment des Archives.
Fig. 157
Abbaye, élévation ouest sur la cour de service. Avec élévation postérieure (sud) du bâtiment d'entrée de la préfecture.
Fig. 158
Cloître, aile orientale, partie nord vue vers le sud : ensemble des arcades du XIIe siècle donnant sur la salle du chapitre, dont la porte d'accès (au troisième plan).
Fig. 159
Cloître, aile orientale, partie sud : arcades de la salle du chapitre entre l'ancienne porte romane (au 1er plan) et l'actuelle porte (au dernier plan) correspondant au XIIe siècle à un passage entre cour et jardin. Au second plan, arcade de la Vierge.
Fig. 160
Abbaye, galerie orientale du cloître : élévation intérieure est, vue d'ensemble en axe sud-nord.
Fig. 161
Ensemble des arcades du cloître.
Fig. 162
Abbaye, galerie orientale du cloître : porte d'accès à la salle du chapitre (menant au XIIe siècle à un couloir desservant le jardin oriental).
Fig. 163
Actuelle porte de la salle capitulaire : élévation sur la salle.
Fig. 164
Abbaye, galerie orientale du cloître, extrémité sud : à gauche, porte murée desservant au XIIe siècle la partie sud de l'aile du chapitre, et à droite, porte murée de fonction et d'époque non identifiée.
Fig. 165
Aile orientale de l'abbaye, vestige du passage existant au XVIIe siècle entre cloître et jardin : porte ouest, élévation intérieure.
Fig. 166
Abbaye, aile sud, vestibule d'honneur : angle nord-ouest avec accès vers la salle du lavabo (à gauche) et vers le cloître (à droite).
Fig. 167
Partie sud de l'aile orientale, vestige du passage aménagé pour la préfecture entre cour et jardin (avant 1840) : porte ouest, éléavtion intérieure.
Fig. 168
Vestiges des voûtes du cloître médiéval (galerie sud), le long du mur du réfectoire : élévation dans les actuelles salles Joachim du Bellay et du Roi René.
Fig. 169
Vestiges de l'abbaye médiévale : voûtes de la galerie sud du cloître, de la porte et d'une baie du réfectoire, élévations initialement sur le cloître, actuellement dans la salle Jeanne de Laval.
Fig. 170
Cour d'honneur, galerie sud (19e) : vue en axe est-ouest.
Fig. 171
Aile occidentale de l'abbaye, mur oriental, porte murée desservant au XIIe siècle le cellier (actuellement vers la salle des hôtes) : élévation extérieure, sur le cloître.
Fig. 172
Aile orientale de l'abbaye, extrémité nord : départ de l'escalier en bois desservant l'étage du pavillon est.
Fig. 173
Aile orientale de l'abbaye, porte du vestibule : élévation sur le cloître.
Fig. 174
Abbaye, vestibule et escalier de l'aile orientale, rez-de-chaussée : faces est et sud.
Fig. 175
Abbaye, vestibule de l'aile orientale, face sud. Départ de l'escalier (dit des matines) et porte vers la sacristie.
Fig. 176
Abbaye, escalier de l'aile orientale : départ de la première volée.
Fig. 177
Abbaye, escalier de l'aile orientale : première révolution et palier du premier étage.
Fig. 178
Abbaye, escalier de l'aile orientale : coupole de couvrement, vue d'ensemble.
Fig. 179
Aile orientale de l'abbaye, sacristie : vue d'ensemble en axe ouest-est.
Fig. 180
Aile orientale de l'abbaye, sacristie : vue d'ensemble en axe est-ouest.
Fig. 181
Aile orientale de l'abbaye, salle du chapitre : vue d'ensemble en axe sud-nord, avec l'élévation intérieure ouest, sur le cloître.
Fig. 182
Aile orientale de l'abbaye, salle du chapitre : vue d'ensemble en axe nord-sud, avec l'élévation intérieure ouest, sur le cloître.
Fig. 183
Abbaye, la salle du chapitre : vue d'ensemble en axe sud-nord, durant les fouilles de 1986-1987. Dégagement des niveaux antérieures au XIIe siècle.
Fig. 184
Abbaye, la salle du chapitre durant les fouilles de 1986-1987 : détail sur les strates de maçonneries antérieures au XIIe siècle.
Fig. 185
Abbaye, aile orientale : salle dite Yolande d'Aragon construite en entresol en 1956 dans la salle voûtée sud (chauffoir du XVIIe siècle ?).
Fig. 186
Aile orientale de l'abbaye, mur ouest du chauffoir (?) XVIIe : porte menant à l'escalier d'honneur de l'aile sud.
Fig. 187
Pavillon sud-est de l'abbaye, bureau du prieur : vue d'ensemble d'est en ouest.
Fig. 188
Pavillon sud-est de l'abbaye, bureau du prieur : angle sud-est, vue d'ensemble.
Fig. 189
Pavillon sud-est de l'abbaye, bureau du prieur : la voûte.
Fig. 190
Pavillon sud-est de l'abbaye, oratoire (?) près du bureau de prieur : vue vers le sud. A droite, porte de l'escalier du chartrier.
Fig. 191
Pavillon sud-est de l'abbaye, oratoire (?) près du bureau du prieur : vestige d'un bénitier.
Fig. 192
Pavillon sud-est de l'abbaye, chartrier entresolé : mur ouest. Au fond, l'unique accès à cette pièce : porte d'un escalier dérobé menant à l'oratoire du prieur
Fig. 193
Abbaye, aile orientale, deuxième étage, petite pièce extrême sud (actuel bureau de l'assistance sociale) : mur sud lambrissé.
Fig. 194
Abbaye, aile sud, vestibule de l'escalier d'honneur : vue vers nord-est. A gauche, porte vers le lavabo ; au fond, porte vers le cloître ; à droite, porte vers les actuels bureaux du Conseil général dans l'aile orientale
Fig. 195
Aile sud de l'abbaye, vestibule et escalier d'honneur : vue d'ensemble depuis la porte donnant sur le cloître.
Fig. 196
Aile sud de l'abbaye, escalier d'honneur : troisième et quatrième volée.
Fig. 197
Aile sud de l'abbaye, escalier d'honneur, dernier repos : mur sud éclairé par une lucarne et départ de la voûte principale
Fig. 198
Aile sud de l'abbaye, escalier d'honneur : vue en contre-plongée.
Fig. 199
Aile sud de l'abbaye, escalier d'honneur, voûte principale : détail de l'extrados, angle nord-est
Fig. 200
Abbaye, aile sud, escalier d'honneur, 1ère volée, mur est : baie du XIIe siècle murée.
Fig. 201
Abbaye, aile sud, escalier d'honneur, 1er repos, angle sud-est : baie du XIIe siècle murée.
Fig. 202
Aile orientale de l'abbaye, face ouest de l'actuel couloir du secrétariat du Conseil général : l'une des deux fenêtres du XIIe siècle situées dans le mur mitoyen entre le chauffoir (?) du XVIIè et l'escalier d'honneur de l'aile sud.
Fig. 203
Aile sud de l'abbaye, salle du lavabo : élévation est.
Fig. 204
Aile sud de l'abbaye, salle du lavabo : élévation ouest.
Fig. 205
Aile sud de l'abbaye, salle du lavabo : la voûte.
Fig. 206
Aile sud de l'abbaye, le réfectoire : vue d'ensemble d'ouest en est.
Fig. 207
Aile sud de l'abbaye, réfectoire : vue d'ensemble en axe est-ouest. Sur le mur nord (à droite), vestiges des baies du réfectoire du XIIe siècle.
Fig. 208
Aile sud de l'abbaye, réfectoire, élévation intérieure nord, 3e et 4e travées depuis l'est : détail sur les fenêtres-vestiges du XIIe siècle.
Fig. 209
Aile sud de l'abbaye, réfectoire, mur nord, 4e travée : baie-vestige du XIIe siècle, élévation extérieure sur le cloître (actuellement salle Jeanne de Laval).
Fig. 210
Aile sud de l'abbaye, réfectoire, travée est, mur nord : fenêtre romane inachevée et retombée de voûte gothique, photogr., de J. Mallet, prise pendant les travaux de restauration, 1969.
Fig. 211
Pavillon sud-ouest de l'abbaye, couloir longeant la cuisine : vue d'ensemble en axe nord-sud (vers l'escalier). A gauche, porte du réfectoire et en vis à vis à droite, porte de la cuisine.
Fig. 212
Aile ouest de l'abbaye, couloir entre le réfectoire et la cuisine : vue d'ensemble vers le nord.
Fig. 213
Pavillon sud-ouest de l'abbaye, escalier de service : élévation sur le couloir.
Fig. 214
Pavillon sud-ouest de l'abbaye, escalier de service : dernière volée.
Fig. 215
Pavillon sud-ouest de l'abbaye, escalier de service : charpente vers ouest.
Fig. 216
Pavillon sud-ouest de l'abbaye, cuisine : élévation ouest, vers la cour secondaire; en retour à l'angle nord, escalier d'accès à un cabinet.
Fig. 217
Pavillon sud-ouest de l'abbaye, cuisine, mur sud : la cheminée, vue d'ensemble.
Fig. 218
Pavillon sud-ouest de l'abbaye, cuisine : élévation intérieure est.
Fig. 219
Petite pièce située entre la salle des hôtes et la cuisine : vue en axe sud-nord.
Fig. 220
Aile ouest de l'abbaye, salle des hôtes : élévations intérieures nord et est.
Fig. 221
Aile ouest de l'abbaye, salle des hôtes : élévation intérieure sud et baie sud-ouest sur la cour de service.
Fig. 222
Aile occidentale de l'abbaye, premier niveau (celliers) : partie haute, vue d'ensemble en axe sud-nord.
Fig. 223
Aile occidentale de l'abbaye, premier niveau (celliers) : détail sur l'un des arcs diaphragmes.
Fig. 224
Aile occidentale de l'abbaye, mur ouest (sur la cour de service), extrémité sud : porte des celliers, élévation extérieure.
Fig. 225
Aile sud, 1er étage. Salle des fêtes de la Préfecture : élévation intérieure sud-ouest et ouest.
Fig. 226
Aile sud, premier étage, salle des fêtes, mur ouest : la cheminée, détail sur le manteau.
Fig. 227
Aile sud, premier étage, salle des fêtes de la préfecture : vue d'ensemble vers l'ouest.
Fig. 228
Aile méridionale, premier étage, appartement du Préfet : grand salon, vue d'ensemble en axe nord-est-sud-ouest.
Fig. 229
Aile méridionale, premier étage, appartement du Préfet : grand salon, élévation nord et est.
Fig. 230
Pavillon sud-ouest, premier étage, appartement du Préfet, la grande salle à manger : élévations nord et est. A droite, porte vers la salle des fêtes.
Fig. 231
Pavillon sud-ouest, premier étage, appartement du Préfet, la grande salle à manger : détail sur la corniche, angle sud-est.
Fig. 232
Aile sud, premier étage, appartement du Préfet : salon de billard, vue d'ensemble vers l'angle sud-est.
Fig. 233
Aile sud, premier étage, appartement du Préfet : salon de billard, vue d'ensemble vers l'angle nord-ouest.
Fig. 234
Premier logis abbatial : vue aérienne sur l'ancienne cour d'entrée. Au fond, revers du corps de logis nord (adressé 24 rue Saint-Aubin), tour d'escalier et au premier plan, revers du corps de logis ouest (sur la rue du Musée).
Fig. 235
Premier logis abbatial (vestiges) : pignon sud et élévation ouest, sur la rue du Musée.
Fig. 236
Premier logis abbatial, pignon sud : vestiges d'une baie en plein cintre du XIIe siècle.
Fig. 237
Premier logis abbatial, galerie sud : vestige d'une arcade (visible dans le couloir de l'immeuble, 8 rue des Lices) : élévation extérieure.
Fig. 238
Vestige du premier logis abbatial : baie de la galerie sud (visible dans le couloir de l'immeuble, 8 rue des Lices), élévation extérieure, détail sur la partie haute.
Fig. 239
Vestige du premier logis abbatial : baie de la galerie sud (visible dans le couloir de l'immeuble, 8 rue des Lices), élévation extérieure, détail sur la base du piedroit de gauche et l'allège.
Fig. 240
Palais abbatial, élévation antérieure, partie gauche. Au fond, la tour des cloches dit tour Saint-Aubin.
Fig. 241
Second logis abbatial (XVIIIe siècle), pavillon antérieur : élévation sur cour.
Fig. 242
Second logis abbatial (XVIIIe siècle), corps principal : élévation antérieure, sur cour.
Fig. 243
Second logis abbatial : vue de situation au nord-est, depuis la rue des Lices.
Fig. 244
Second logis abbatial : élévations nord et ouest, sur la place Saint-Eloi.
Fig. 245
Bâtiment principal des Archives : élévation sud, sur le jardin-potager.
Fig. 246
Bâtiment d'entrée des Archives départementales : élévation sur la rue Saint-Aubin (n° 64).

Voir

Angers, Présentation de l'aire d'étude Angers intra-muros
Angers, L'architecture religieuse

Région des Pays de la Loire - Service du Patrimoine / Ville d'Angers - Service Patrimoine Historique, Inventaire. Chercheur(s) : Letellier-d'Espinose Dominique ; Biguet Olivier. (c) Région Pays de la Loire - Inventaire général ; (c) Ville d'Angers. Renseignements : Centre de Documentation du Patrimoine, 1 rue de la Loire, 44966 Nantes cedex 9, tél. 02 28 20 50 00 ou Service Patrimoine Historique, Inventaire, 2 rue de la Harpe, 49100 Angers, tél. 02 41 86 95 28, patrimhist.inventaire@ville.angers.fr. Document produit par Renabl6 : (c) Pierrick Brihaye (Région Bretagne) / Yves Godde (Ville de Lyon)