Ce qui m'est dû prend part à la lutte, mais n'en reste pas moins un spectacle d'une poésie merveilleusement simple.
On a une fenêtre d'opportunité très courte, il ne faut pas la laisser passer.
Rapport du GIEC sur l'urgence climatique
Par un subtil dialogue entre danse et théâtre, Ce qui m'est dû part de l'intime pour toucher à l'universel. À la manière d'une conférence gesticulée, Héloise Desfarges et Antoine Raimondi nous racontent l'histoire de leur propre prise de conscience face à la crise écologique. Intelligents et créatifs, ils pointent nos petites lâchetés, évoquent nos fragiles mais nécessaires résistances.
Sur scène, textes et corps se rencontrent, se complètent et questionnent le politique et la Politique. Les mots et les maux s'incarnent. Une créativité lucide qui interroge sans culpabiliser, une invitation à une prise de conscience et à une action collective. Un spectacle qui touche les jeunes et les moins jeunes, les militants et les profanes. Une parenthèse chorégraphique et théâtrale qui donne du baume au coeur.