Magali Thuillier interroge notre lien aux arbres via leurs parts d’ombre et de lumière pour inviter à un autre regard.
Par le biais de l’encre de Chine, des kakemonos et des volumes, c’est la recherche de la simplicité ultime qui est mise en avant. Elle invite à se défaire du superflux, se concentrer sur l’intrinsèque. Être là, dans la pureté et la poésie du moment présent. Dans l’infiniment vivant des arbres. Jean-Luc Marteau, avec ses bols en terres pincées, invite à une cérémonie du thé, à un bref instant de répit au milieu d’une vie quotidienne trépidante.