Bagarre : Plein de hargne, d’ivresse et inexorablement engagé, chaque morceau de Bagarre raconte un monde qui tire sa révérence. Aussi universel que personnel, à coup de techno hardcore et de mots bien sentis, le club, comme toujours, nous invite à danser, bondir et nous griller les cordes vocales. « Mais alors, c’est quel style Bagarre ? ». Impossible à définir, sinon réducteur, Bagarre est un groupe de mouvement, pas de genre.
Gargäntua : GARGÄNTUA c’est le géant de Rabelais, l’enfant sans limite. Boire, manger, dormir, courir après les papillons, se rouler dans les ordures, voilà son bon plaisir. Au Greniers Saint-Jean, point de papillons (et pourquoi pas d’ailleurs ?) mais toujours la même ligne de conduite : ne pas en avoir. GARGÄNTUA arborera sa plus belle face black metal et se jouera des accents romantiques de la langue française pour les débiter sur des beats pop techno hybridés. GARGÄNTUA chantera l’humanisme désinvolte. Thélémites comme néophytes scanderont « Fais ce que voudra ». Et le radical s’invitera, et l’on dansera jusqu’à plus soif.
Contrefaçon : Sur des rythmes techno-acid, le quatuor nous emmène à contresens dans leur univers complètement survolté. Autoproduit de toutes part, les membres touche-à-tout veulent faire de leur projet une ode a la customisation et au DIY.