En 1993, tout juste sortis du conservatoire, Boris Charmatz et Dimitri Chamblas présentaient À bras-le-corps, pièce conçue pour tester les limites, surexposer la peau, la fatigue, le souffle, la sueur. Répartis autour des interprètes, les spectateurs perçoivent chaque détail, une main qui prend une autre main, une cuisse qui touche un bras, ressentant les chocs, le frottement des chairs.
Depuis vingt-huit ans, les deux chorégraphes réactivent cette performance fondatrice de leurs parcours respectifs.
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